REFERENCES : SAGESSE
GUY TREDANIEL EDITEUR – 4 LIVRES « 81 FACONS »
Petite sagesse de tous les jours
81 façons de surmonter les coups durs –
Dominique CHARNAISE – Epanouissement (juin 2001)
Je fais quelque chose en faveur d’autrui
Je m’absorbe dans une tâche organisée
Je me concentre sur le moment présent
Je regarde au dehors
Je m’absorbe dans une activité artistique
Je rends service à quelqu’un
Je décide d’aller marcher tous les jours
Je reste souple à ce qui m’arrive
J’accepte d’avoir peur
Je dis clairement ce que je ressens
J’accueille ma colère comme une expression de défense contre la douleur
Je demande de l’aide à un thérapeute
Je fais la liste de ce que j’éprouve
Je cesse de me croire victime du destin
Je cherche autour de moi qui a vécu la même épreuve
Je visualise ma peine comme un paquet, que je renvoie à celui qui me l’a fait subir
Je pense à tout ce que j’ai
Je n’oublie pas que je suis le responsable de ma vie
Je redéfinis mes priorités
Je m’interroge sur le sens de la crise
Je contemple un paysage, une plante, un oiseau
Je vis instant après instant
Je m’oblige à faire l’une des choses qui, « avant », me faisaient plaisir
Je programme une tâche « énorme »
J’offre à quelqu’un un petit cadeau ou une aide inattendue
Je cultive la fréquentation des enfants
Je visualise ma peine comme un objet ou un paysage…
J’accepte les émotions qui me traversent
Je ne crains pas de refuser de parler
Je me fais aider par mes proches
Je considère ma vie comme un tout
Je reste en contact avec les autres
J’observe ma tristesse comme un objet
Je cesse d’accuser les autres
Je n’hésite pas à montrer ma faiblesse
Je m’efforce de ne plus penser aux circonstances de la crise qui m’affecte
Je crée un paysage intérieur apaisant, et j’y ai recours chaque fois que les idées noires m’assaillent
Je m’entraîne à la fermeté face au malheur
Je fais la liste de ce qui m’est vraiment essentiel
Je cherche à comprendre ce qui fait écho, en moi, à la crise que je traverse
Je me répète que seul le présent compte
Je chéris l’être humain que je suis, ce sujet qui vit, pense et ressent
Je valorise ma vie, je prends en compte ce qu’elle porte de positif et d’agréable
Si je n’ai plus la force d’agir pour moi, j’agis pour le bien commun
Je fais la liste de tout ce que j’ai déjà accompli de courageux
Je repousse un instant la tentation de la tristesse
Je sais que je peux changer de point de vue : je reconnais en moi cette faculté
Je prends soin de mon apparence
Je m’en rapporte à mon maître intérieur
Je mets de l’ordre en moi-même
Je développe mon courage
Je me retire en moi-même
Je deviens chaque jour davantage la personne que je suis vraiment
Je vis désormais comme si chaque matin était celui de mon dernier jour
Je me simplifie la vie
Je me répète que toute vie humaine est affectée par la peine
Je me vois comme un rocher ou une montagne
Je me réveille en pensant que je vais œuvrer pour le bien
Je reste maître de mes pensées
Je m’investis dans un travail humanitaire
Je me redis que la peine et l’angoisse ont une fin, comme tout ce qui est
Je me convaincs de ma force
Je m’octroie un petit plaisir, quitte à me forcer un peu…
Je me représente ma vie comme une tapisserie inachevée
Je considère l’épreuve que je traverse comme un marathon
La crise que je vis est un défi qui m’est lancé par l’existence : j’ai la force de le relever
Je sais que la résolution de cette crise prendra du temps et je l’accepte
Je considère la révolution intérieure qui s’annonce comme une chance, un cadeau de la vie
Je renonce à l’ancien « moi »
Je cesse de m’entêter
Je me relie à mes racines
Je prends conscience de mon évolution
Je considère ma peine comme un instrument de progrès
Je suis capable, comme tout humain, de transformer mon destin
J’accepte d’être joyeux
Je n’hésite plus à dire non
Je programme une visite dans un lieu inconnu
Je décide de m’adonner à une activité nouvelle
Je m’entraîne à ne plus me plaindre
Je m’imagine dans dix ans
Je m’efforce de trouver un sens à ce qui m’arrive
81 façons d’apprendre à lâcher prise –
Ronald MARY – Sérénité (juin 2001)
J’accepte plus facilement les nouveautés dans ma vie
Je ne regarde plus ma vie à la lumière de mes échecs passés
Je me laisse guider par ce que j’aime
J’apprends à apprécier ce qui m’est donné par la vie
Je comprends que les changements extérieurs de ma vie viennent de mes transformations intérieures
Ce que j’ai peur de perdre, me retient : je ne l’oublie jamais
Je sais que ce que je suis ne dépend pas seulement de mon passé
J’apprends à devenir observateur de moi-même
J’apprends à prendre du recul par rapport à mes pensées
Je découvre que le monde de mes pensées n’est pas le même que celui de ma vie
Je m’efforce de me sentir consciemment libre et réveillé
Je sais que la prise de conscience de mes pensées repose sur des efforts continus
Je sais que mes images mentales spontanées ne sont jamais à la hauteur de mes attentes
Je comprends enfin que la vie ne se vit pas en pensées (destinée)
Je comprends que les idées fausses hantent mes zones d’ombres
Je ne prends plus pour moi ce qui ne m’appartient pas
J’apprends à ne plus me comparer aux autres
Je ne me laisse plus entraîner par les doutes et les douleurs
Je découvre que mes désirs ne sont pas tous spontanés
Je décide de devenir honnête avec moi-même
Je décide de ne plus avoir des réactions enkystées dans l’habitude
J’accepte d’apprendre
Je comprends mes propres limites, je les accueille avec sincérité et humilité
Je ne confonds plus certitude et conviction
Je prends conscience que tout est toujours neuf lorsqu’on sait le regarder avec un œil nouveau
Je n’hésite pas à m’arrêter en route
Je fais mienne cette définition venue de l’astrophysique : « lorsqu’un mouvement est juste, rien ne peut l’arrêter ; lorsqu’un mouvement n’est pas juste, un rien peut l’arrêter »
J’apprends à dépasser mes limites
Je n’ai plus peur de mes peurs
Je persévère dans ma démarche, sans m’entêter pour autant
Je me détache de ce que je n’aime pas
Je ne m’identifie plus à mes réactions négatives
Je ne mésestime plus ma capacité de comprendre et d’apprendre
Je n’hésite pas à me faire aider
Je ne renvoie plus à demain…
Je m’habitue à ne pas tout prévoir
J’arrête de me regarder vivre
C’est en agissant que l’on apprend le mieux de la vie : je le constate et je me le répète
Les obstacles me « parlent » : j’apprends à les écouter
Je n’oublie jamais ce mot d’auteur : « que de choses il faut ignorer, pour agir ! »
J’élargis mon champ de désir
Je me rappelle que même les plus grands ont commencé petits
L’espérance intacte mène mon chemin :je me le dis et me le redis
J’ose me laisser porter par l’inconnu
Je m’intéresse à la philosophie taoïste
J’élargis le champ de mes espoirs et de mes ambitions
Je sais que jour après jour, je me rapproche un peu plus de la sagesse
Je reste résolument optimiste
Je vois ma vie différemment
Je ne crains plus de me donner à fond aux situations que je traverse
Je m’efforce d’être clair avec moi-même et avec les autres
Je comprends que je ne suis en rien différent des autres, même si je suis un être unique
Je découvre la limite de l’aide que peuvent m’apporter les autres
Je ne confonds pas mériter et désirer (nous avons tous droit à l’amour)
Je n’attire plus l’attention des autres intentionnellement, je m’efforce simplement d’être moi-même
J’ai toujours le choix : j’essaie de ne pas l’oublier
Je me vois tel que je suis
Je m’efforce de ne plus accepter les souffrances que les autres m’infligent
Je me détache du pouvoir que les autres exercent sur moi
Je ne me laisse plus impressionner par les « puissants »
J’apprends à dialoguer avec moi-même
Lorsque j’ai peur, je laisse l’émotion me traverser sans réagir
Je prends conscience que je n’ai rien à prouver à personne
La souffrance ne m’est ni utile ni nécessaire : je ne l’oublie pas
Je m’efforce de comprendre mon fonctionnement émotionnel et mental
Je refuse d’apporter de mauvaises réponses aux bonnes questions que la vie me pose
Je refuse de me laisser guider par mes angoisses
Je m’efforce de remercier la vie, même lorsqu’elle ne me semble pas très douce
J’ose me faire plaisir
J’apprends à m’aimer pour ce que je suis et non pour ce que je voudrais être
Je me lance dans l’inconnu : une activité inhabituelle, une attitude nouvelle…
J’ose me montrer déraisonnable (créativité)
Je vais au-delà de mes rêves
J’ose me sentir libre
J’oublie qui j’étais hier, et je ne sais pas qui je serai demain
J’imagine…
J’affronte la vie sans me perdre dans la peur de souffrir
Je ne peux qu’évoluer : c’est une vérité que j’accepte
Je me laisse porter par le sens de la vie
J’abandonne mes croyances inutiles
La vie est comme une respiration simple et en perpétuel mouvement. Je ne l’oublie jamais…
81 façons de conserver la jeunesse du cœur –
Dominique CHARNAISE – Sensations (novembre 2001)
Je m’abstiens de critiquer les jeunes
Je me réjouis d’être aussi peu affecté par les maux de l’âge
Je cesse de me plaindre
Je m’entraîne à accueillir le changement avec curiosité
Je profite pleinement de l’âge que j’ai
J’explore tous les domaines qui constituent ma vie, pour y faire des projets
Je profite pleinement de l’âge que j’ai
J’explore tous les domaines qui constituent ma vie pour y faire des projets
Je me donne les moyens de réaliser mon projet
J’accepte « la casse » et « le rebut »
J’essaie de me sentir vivant, parmi mes contemporains
Je m’intéresse aux autres
Je prends conscience du lieu où je me trouve
Je prends conscience du moment précis de la journée
Je remercie mon corps de me servir si bien et depuis si longtemps (lui assurer repos et plaisir)
Je prends conscience de ma posture
J’instaure un tout petit changement bénéfique à mon corps
Je me fais aider pour aller mieux
J’apprends à accepter mon apparence physique
Je n’imite pas la jeunesse
Je me laisse surprendre
Je n’oublie pas que je suis un être de relation
Je cultive la gaîté
Je cesse de dramatiser
Je ris de moi-même
Je cultive un peu d’audace
J’admire ma vie comme je regarderais une riche tapisserie
J’entretiens mes relations amicales et familiales avec régularité
J’emmène mes petits-enfants ou mes petits voisins au spectacle ou au musée
Je médite cette phrase : « le sujet n’a pas d’âge »
J’identifie mes « raisons de vivre » (bilan surtout si l’on se sent « vieillir »)
Je fais la paix avec mes mauvais souvenirs
Je repense mon quotidien
J’entraîne ma mémoire (jeux…)
Je fais avec rigueur la liste de mes habitudes
Je change quelque chose dans mon décor familier
J’apprends à me « poser »
Je transforme une corvée en détente (au lieu de subir, jouons)
Je n’oublie pas que je suis un être complexe (pas compliqué mais multiple)
Je me rappelle (et me répète) que vieillir, c’est vivre
Je pense à une partie précise de mon corps, et je la détends (ex. les épaules, posture plus jeune)
Je m’applique à sentir en moi le mouvement de la vie
Je fais la liste de tous les domaines que j’aimerais bien explorer (se détourner de l’inutile)
Je m’autorise à changer de loisir
J’entreprends une activité artistique (il s’agit de libérer de soi la force créatrice)
Je décide de reprendre une activité abandonnée depuis longtemps (cadeau de la maturité)
J’accepte de redevenir un débutant
Je savoure la fin de mon ignorance
Je m’imagine après quelques années de pratique
Je m’inscris à un cours (ou dans une association, source de sa propre jeunesse)
Je demande conseil à plus jeune que moi
J’écoute ce qu’aiment les jeunes qui m’entourent (découvrir et aimer)
Je prends conscience de l’usure du temps sur… ma fraîcheur d’âme ! (cure de jouvence)
Je suis patient avec moi-même
Je visualise mon apprentissage comme une fleur qui s’ouvre
J’apprends à voir mes progrès
J’accepte les compliments et les critiques d’une oreille égale
Je considère que ma création est une jouissance
Je me rappelle que je m’appartiens qu’à moi-même (que l’enfant livre vive enfin)
Je prends conscience que je suis unique au monde
Je fais la liste des responsabilités, des charges qui pèsent sur moi
J’accepte gaiement mes devoirs incontournables (inutile de se raidir)
Je laisse de côté les devoirs que je me suis inutilement imposé ! (se rendre un peu de jeunesse)
Je ris au moins une fois par jour avec quelqu’un que j’aime (la joie se décide)
Je tombe le(s) masque(s) (ca fait un bien fou à la jeunesse intérieure)
J’écoute mes vrais désirs
Je ferme la porte au sentiment de culpabilité
Je cherche à comprendre d’où vient ce sentiment de culpabilité, surtout si j’ai du mal à m’en défaire (se faire aider)
J’abandonne mes « modèles »
Je considère mes propres contradictions avec indulgence
J’accepte de me remettre en question (trait de caractère qui remet en forme)
J’accepte que mon élan puisse tourner court (tout le monde peut se tromper, recommencer)
Je pense à tout le bien que j’ai fait à autrui (prendre conscience)
Je vais vers moi-même (une bienfaisante douche mentale)
Quoi que je fasse, je me concentre sur la tâche à accomplir (cultiver son savoir-faire)
Je n’oublie pas de me féliciter pour chaque travail bien fait (prise en compte, progrès+sourire)
Je m’offre quelque chose pour la première fois
Je cultive l’amitié de gens de tous âges
Je fais de chaque obstacle une occasion de rebondir (réorganiser)
J’apprends à accepter la réalité telle qu’elle est (processus de guérison ou d’apprentissage)
Je suis de mon époque, et j’y tiens ! (on a le « droit »)
Je pratique l’art de l’ouverture, le plus souvent possible (souplesse, tolérance, humour)
Je ne sous-estime plus mon principal devoir : être heureux ! (pas de la jeunesse du cœur)
81 façons d’avoir confiance en soi –
Marie BORREL – Epanouissement (septembre 2002)
J’accepte mes erreurs (c’est en se trompant que l’on avance)
J’arrête de porter sur soi-même des jugements définitifs (arrêter de se juger en bien ou en mal)
Je m’efforce d’accepter ce que je suis (être complexe, notre richesse)
Je prends conscience de mes qualités (en prendre en compte)
Je prends conscience de mes défauts (la perfection n’existe pas)
Je me fais aider par une personne en qui je fais confiance (être sûr de la sincérité)
Je me dis que j’ai construit la mauvaise image que j’ai de moi (être devenu)
Je pratique la pensée positive (le meilleur moment, juste avant de s’endormir)
Je me chouchoute (s’accorder des soins)
Je soigne mes mains et mes pieds… (on acquiert d’autant plus d’assurance que l’on soigne ces petits détails)
Je m’essaie à la créativité (fructueux voyage à l’intérieur de soi-même)
Je transforme mon manque de confiance en qualité (bons médiateurs)
J’accepte de me laisser aimer (mot amour)
Je m’entraîne à exprimer ce que je ressens (avec un peu d’entraînement on y arrive)
Je m’entraîne à exprimer clairement mes opinions
Je m’accorde le droit de réussir (c’est de notre vie qu’il est question)
J’ose regarder en face la passion qui m’anime (au lieu d’occulter ces désirs, mieux vaut les accepter. Nous avons tous droit au meilleur)
Je renonce à mon orgueil parfois démesuré (cela ne nous aide pas à en sortir)
J’affronte mes peurs (pour traverser la peur et la dépasser, il faut avant tout arrêter de se la cacher)
Je dresse l’inventaire des situations qui m’effraient (situations qui nous bloquent et nous stressent)
J’utilise la visualisation pour m’exercer à les affronter (grâce à la visualisation positive)
J’arrête de croire que le monde entier a les yeux braqués sur moi (trac paralysant)
J’arrête de me réfugier dans le rêve (les rêveries nous tiennent éloignés de la réalité)
Je m’efforce de transformer mes rêveries en projets, puis en actes (demande efforts)
Je me dis que tous les individus, même ceux qui manifestent le plus d’assurance, manquent parfois de confiance en eux (question de dosage, prendre conscience)
Je corrige les défauts physiques qui me perturbent dès que c’est possible (régime)
J’apprends à communiquer (PNL, analyse transactionnelle, s’exprimer, confiance en soi se construit)
Mes sautes d’humeur sont inévitables : je l’accepte (la journée ira peut-être en s’améliorant)
J’arrête de m’entourer de personnes qui me font de l’ombre
Je fais la liste de ce qui est satisfaisant dans ma vie (corriger le tir)
Je m’efforce de n’envier personne (ne nous apporte rien)
La vraie vie n’est jamais peinte tout en rose ni tout en noir : je m’en rends compte et je l’accepte
J’accepte de ne pas être parfait
Je prends conscience de mes limites
Je suis un être fragile et vulnérable (comme tout le monde sur cette Terre…)
Je suis aussi un être fort et puissant (également comme tout le monde…)
Je fais la part entre mes vrais désirs et ceux que mes parents ont eus pour moi
Je m’efforce de faire passer mes propres désirs avant ceux que m’ont inculqués les autres
Je m’accorde le droit de devenir, chaque jour davantage, ce que je suis vraiment (soi-même)
Je respecte la personne que je suis, avec toutes ses facettes
Je me regarde nu€ dans un miroir (s’accepter)
J’apprends à repérer ce qui me va (certaines choses nous mettent en valeur)
Je pratique une activité physique (qui procure du plaisir)
J’invente à chaque instant le monde dans lequel je vis (en être conscient)
J’écris le scénario de ma vie idéale
Dans ce scénario, je note ce qui me semble réalisable (pas complètement démunis devant nos rêves)
Chaque soir, je repasse dans ma tête le film de ma journée (sur ce qui nous a apporté du plaisir)
Je ne sais pas vraiment qui je suis : je l’accepte (trésors cachés en nous même, découvrir un jour)
Je me prépare à « tuer » symboliquement mes parents pour exister pleinement
Je m’invente un rituel de séparation (s’habiller en blanc symbolise le passage, adulte)
J’ai recours aux élixirs floraux de Bach (« Cereto » apaise, « Aspen » soulage les peurs irraisonnées)
J’apprends à respirer consciemment (arme pour lutter contre le trac, l’appréhension, la timidité)
Je fais l’arbre, la roue ou le chien…(yoga calme, recentre, améliore harmonie, restaure confiance soi) je ne me laisse plus aller à la culpabilité (le passé, inutilité, se concentrer sur le moment présent pour préparer l’avenir)
J’accepte les changements (voie de l’amélioration)
J’observe la façon dont je sors de mon lit chaque matin (gestes révélateurs notre relation au monde)
Je modifie la façon dont je me lève chaque matin (prise conscience journée, ce qu’elle apportera)
Je demande de l’aide à mon ange gardien (manière de dialoguer avec soi-même et avec la vie)
Je fais confiance à la méthode Coué (méthode d’autosuggestion, pensée positive : « chaque jour, à tous points de vue, je vais de mieux en mieux »
Je suis parfois mon pire ennemi : je le reconnais et je l’accepte (en prendre conscience)
Je me complimente dès que j’en ai l’occasion (faire des compliments mérités)
Je me récompense pour chaque progrès que j’accomplis sur le chemin de la confiance en moi (demande courage, lucidité et endurance, mérite récompenses)
Je n’hésite pas à pratiquer l’humour et la dérision (garder du recul par rapport à soi-même)
Je me fabrique des gris-gris… (garder près de nous bibelot pour affronter une situation)
Je refuse absolument de me comparer (à fuir d’urgence)
Je me méfie des normes et des modes (rien à y gagner, éloignement de soi-même)
Je ne me contente plus de paraître… (piège de l’apparence)
Je profite des moments de crise pour évoluer (lorsqu’on « craque »)
Je décide d’abandonner ma souffrance (tout à y gagner)
Je m’applique à faire quelque chose dont j’ai toujours rêvé et que je n’ai jamais osé accomplir
(renforce notre confiance)
Je pratique un sport extrême (aller au bout de ses limites et les dépasser)
J’abandonne la rancune (cas de maltraitance)
Je médite… (à commencer par notre propre confiance…)
Je décide d’être joyeux au moins cinq minutes par jour (« la joie, ça se décide », se désaltérer)
Je me fixe des objectifs réalistes (pour cultiver pas à pas sa confiance)
J’apprends à écouter (qualité rare et précieuse)
Je n’accepte plus les critiques injustifiées (pas à pas vers une meilleure confiance en soi)
Je pratique l’auto-ancrage (geste pour faire revenir les émotions positives)
Je cesse de considérer la vie comme un ring et les autres comme des adversaires (sortons de cette ambiance de combat, que nous entretenons nous-mêmes en nous posant en victimes)
Je m’inscris à un stage d’affirmation de soi (techniques efficaces, impact du groupe positif)
Si ce n’est pas suffisant, je consulte un psy (poids blessures passées lourd, thérapie indispensable)