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ATELIER ECRITURE ET REFERENCE
16 décembre 2017

REFERENCES : SAGESSE

 

GUY TREDANIEL EDITEUR – 4 LIVRES  « 81 FACONS »

Petite sagesse de tous les jours

 

81 façons de surmonter les coups durs –

Dominique CHARNAISE – Epanouissement  (juin 2001)

Je fais quelque chose en faveur d’autrui

Je m’absorbe dans une tâche organisée

Je me concentre sur le moment présent

Je regarde au dehors

Je m’absorbe dans une activité artistique

Je rends service à quelqu’un

Je décide d’aller marcher tous les jours

Je reste souple à ce qui m’arrive

J’accepte d’avoir peur

Je dis clairement ce que je ressens

J’accueille  ma colère comme une expression de défense contre la douleur

Je demande de l’aide à un thérapeute

Je fais la liste de ce que j’éprouve

Je cesse de me croire victime du destin

Je cherche autour de moi qui a vécu la même épreuve

Je visualise ma peine comme un paquet, que je renvoie à celui qui me l’a fait subir

Je pense à tout ce que j’ai

Je n’oublie pas que je suis le responsable de ma vie

Je redéfinis mes priorités

Je m’interroge sur le sens de la crise

Je contemple un paysage, une plante, un oiseau

Je vis instant après instant

Je m’oblige à faire l’une des choses qui, « avant », me faisaient plaisir

Je programme une tâche « énorme »

J’offre à quelqu’un un petit cadeau ou une aide inattendue

Je cultive la fréquentation des enfants

Je visualise ma peine comme un objet ou un paysage…

J’accepte les émotions qui me traversent

Je ne crains pas de refuser de parler

Je me fais aider par mes proches

Je considère ma vie comme un tout

Je reste en contact avec les autres

J’observe ma tristesse comme un objet

Je cesse d’accuser les autres

Je n’hésite pas à montrer ma faiblesse

Je m’efforce de ne plus penser aux circonstances de la crise qui m’affecte

Je crée un paysage intérieur apaisant, et j’y ai recours chaque fois que les idées noires m’assaillent

Je m’entraîne à la fermeté face au malheur

Je fais la liste de ce qui m’est vraiment essentiel

Je cherche à comprendre ce qui fait écho, en moi, à la crise que je traverse

Je me répète que seul le présent compte

Je chéris l’être humain que je suis, ce sujet qui vit, pense et ressent

Je valorise ma vie, je prends en compte ce qu’elle porte de positif et d’agréable

Si je n’ai plus la force d’agir pour moi, j’agis pour le bien commun

Je fais la liste de tout ce que j’ai déjà accompli de courageux

Je repousse un instant la tentation de la tristesse

Je sais que je peux changer de point de vue : je reconnais en moi cette faculté

Je prends soin de mon apparence

Je m’en rapporte à mon maître intérieur

Je mets de l’ordre en moi-même

Je développe mon courage

Je me retire en moi-même

Je deviens chaque jour davantage la personne que je suis vraiment

Je vis désormais comme si chaque matin était celui de mon dernier jour

Je me simplifie la vie

Je me répète que toute vie humaine est affectée par la peine

Je me vois comme un rocher ou une montagne

Je me réveille en pensant que je vais œuvrer pour le bien

Je reste maître de mes pensées

Je m’investis dans un travail humanitaire

Je me redis que la peine et l’angoisse ont une fin, comme tout ce qui est

Je me convaincs de ma force

Je m’octroie un petit plaisir, quitte à me forcer un peu…

Je me représente ma vie comme une tapisserie inachevée

Je considère l’épreuve que je traverse comme un marathon

La crise que je vis est un défi qui m’est lancé par l’existence : j’ai la force de le relever

Je sais que la résolution de cette crise prendra du temps et je l’accepte

Je considère la révolution intérieure qui s’annonce comme une chance, un cadeau de la vie

Je renonce à l’ancien « moi »

Je cesse de m’entêter

Je me relie à mes racines

Je prends conscience de mon évolution

Je considère ma peine comme un instrument de progrès

Je suis capable, comme tout humain, de transformer mon destin

J’accepte d’être joyeux

Je n’hésite plus à dire non

Je programme une visite dans un lieu inconnu

Je décide de m’adonner à une activité nouvelle

Je m’entraîne à ne plus me plaindre

Je m’imagine dans dix ans

Je m’efforce de trouver un sens à ce qui m’arrive

 

81 façons d’apprendre à lâcher prise –

Ronald MARY – Sérénité  (juin 2001)

J’accepte plus facilement les nouveautés dans ma vie

Je ne regarde plus ma vie à la lumière de mes échecs passés

Je me laisse guider par ce que j’aime

J’apprends à apprécier ce qui m’est donné par la vie

Je comprends que les changements extérieurs de ma vie viennent de mes transformations intérieures

Ce que j’ai peur de perdre, me retient : je ne l’oublie jamais

Je sais que ce que je suis ne dépend pas seulement de mon passé

J’apprends à devenir observateur de moi-même

J’apprends à prendre du recul par rapport à mes pensées

Je découvre que le monde de mes pensées n’est pas le même que celui de ma vie

Je m’efforce de me sentir consciemment libre et réveillé

Je sais que la prise de conscience de mes pensées repose sur des efforts continus

Je sais que mes images mentales spontanées ne sont jamais à la hauteur de mes attentes

Je comprends enfin que la vie ne se vit pas en pensées (destinée)

Je comprends que les idées fausses hantent mes zones d’ombres

Je ne prends plus pour moi ce qui ne m’appartient pas

J’apprends à ne plus me comparer aux autres

Je ne me laisse plus entraîner par les doutes et les douleurs

Je découvre que mes désirs ne sont pas tous spontanés

Je décide de devenir honnête avec moi-même

Je décide de ne plus avoir des réactions enkystées dans l’habitude

J’accepte d’apprendre

Je comprends mes propres limites, je les accueille avec sincérité et humilité

Je ne confonds plus certitude et conviction

Je prends conscience que tout est toujours neuf lorsqu’on sait le regarder avec un œil nouveau

Je n’hésite pas à m’arrêter en route

Je fais mienne cette définition venue de l’astrophysique : « lorsqu’un mouvement est juste, rien ne peut l’arrêter ; lorsqu’un mouvement n’est pas juste, un rien peut l’arrêter »

J’apprends à dépasser mes limites

Je n’ai plus peur  de mes peurs

Je persévère dans ma démarche, sans m’entêter pour autant

Je me détache de ce que je n’aime pas

Je ne m’identifie plus à mes réactions négatives

Je ne mésestime plus ma capacité de comprendre et d’apprendre

Je n’hésite pas à me faire aider

Je ne renvoie plus à demain…

Je m’habitue à ne pas tout prévoir

J’arrête de me regarder vivre

C’est en agissant que l’on apprend le mieux de la vie : je le constate et je me le répète

Les obstacles me « parlent » : j’apprends à les écouter

Je n’oublie jamais ce mot d’auteur : « que de choses il faut ignorer, pour agir ! »

J’élargis mon champ de désir

Je me rappelle que même les plus grands ont commencé petits

L’espérance intacte mène mon chemin :je me le dis et me le redis

J’ose me laisser porter par l’inconnu

Je m’intéresse à la philosophie taoïste

J’élargis le champ de mes espoirs et de mes ambitions

Je sais que jour après jour, je me rapproche un peu plus de la sagesse

Je reste résolument optimiste

Je vois ma vie différemment

Je ne crains plus de me donner à fond aux situations que je traverse

Je m’efforce d’être clair avec moi-même et avec les autres

Je comprends que je ne suis en rien différent des autres, même si je suis un être unique

Je découvre la limite de l’aide que peuvent m’apporter les autres

Je ne confonds pas mériter et désirer (nous avons tous droit à l’amour)

Je n’attire plus l’attention des autres intentionnellement, je m’efforce simplement d’être moi-même

J’ai toujours le choix : j’essaie de ne pas l’oublier

Je me vois tel que je suis

Je m’efforce de ne plus accepter les souffrances que les autres m’infligent

Je me détache du pouvoir que les autres exercent sur moi

Je ne me laisse plus impressionner par les « puissants »

J’apprends à dialoguer avec moi-même

Lorsque j’ai peur, je laisse l’émotion me traverser sans réagir

Je prends conscience que je n’ai rien à prouver à personne

La souffrance ne m’est ni utile ni nécessaire : je ne l’oublie pas

Je m’efforce de comprendre mon fonctionnement émotionnel et mental

Je refuse d’apporter de mauvaises réponses aux bonnes questions que la vie me pose

Je refuse de me laisser guider par mes angoisses

Je m’efforce de remercier la vie, même lorsqu’elle ne me semble pas très douce

J’ose me faire plaisir

J’apprends à m’aimer pour ce que je suis et non pour ce que je voudrais être

Je me lance dans l’inconnu : une activité inhabituelle, une attitude nouvelle…

J’ose me montrer déraisonnable (créativité)

Je vais au-delà de mes rêves

J’ose me sentir libre

J’oublie qui j’étais hier, et je ne sais pas qui je serai demain

J’imagine…

J’affronte la vie sans me perdre dans la peur de souffrir

Je ne peux qu’évoluer : c’est une vérité que j’accepte

Je me laisse porter par le sens de la vie

J’abandonne mes croyances inutiles

La vie est comme une respiration simple et en perpétuel mouvement. Je ne l’oublie jamais…

 

  81 façons de conserver la jeunesse du cœur –

Dominique CHARNAISE – Sensations  (novembre 2001)

Je m’abstiens de critiquer les jeunes

Je me réjouis d’être aussi peu affecté par les maux de l’âge

Je cesse de me plaindre

Je m’entraîne à accueillir le changement avec curiosité

Je profite pleinement de l’âge que j’ai

J’explore tous les domaines qui constituent ma vie, pour y faire des projets

Je profite pleinement de l’âge que j’ai

J’explore tous les domaines qui constituent ma vie pour y faire des projets

Je me donne les moyens de réaliser mon projet

J’accepte « la casse » et « le rebut »

J’essaie de me sentir vivant, parmi mes contemporains

Je m’intéresse aux autres

Je prends conscience du lieu où je me trouve

Je prends conscience du moment précis de la journée

Je remercie mon corps de me servir si bien et depuis si longtemps (lui assurer repos et plaisir)

Je prends conscience de ma posture

J’instaure un tout petit changement bénéfique à mon corps

Je me fais aider pour aller mieux

J’apprends à accepter mon apparence physique

Je n’imite pas la jeunesse

Je me laisse surprendre

Je n’oublie pas que je suis un être de relation

Je cultive la gaîté

Je cesse de dramatiser

Je ris de moi-même

Je cultive un peu d’audace

J’admire ma vie comme je regarderais une riche tapisserie

J’entretiens mes relations amicales et familiales avec régularité

J’emmène mes petits-enfants ou mes petits voisins au spectacle ou au musée

Je médite cette phrase : « le sujet n’a pas d’âge »

J’identifie mes « raisons de vivre » (bilan surtout si l’on se sent « vieillir »)

Je fais la paix avec mes mauvais souvenirs

Je repense mon quotidien

J’entraîne ma mémoire (jeux…)

Je fais avec rigueur la liste de mes habitudes

Je change quelque chose dans mon décor familier

J’apprends à me « poser »

Je transforme une corvée en détente (au lieu de subir, jouons)

Je n’oublie pas que je suis un être complexe (pas compliqué mais multiple)

Je me rappelle (et me répète) que vieillir, c’est vivre

Je pense à une partie précise de mon corps, et je la détends (ex. les épaules, posture plus jeune)

Je m’applique à sentir en moi le mouvement de la vie

Je fais la liste de tous les domaines que j’aimerais bien explorer (se détourner de l’inutile)

Je m’autorise à changer de loisir

J’entreprends une activité artistique (il s’agit de libérer de soi la force créatrice)

Je décide de reprendre une activité abandonnée depuis longtemps (cadeau de la maturité)

J’accepte de redevenir un débutant

Je savoure la fin de mon ignorance

Je m’imagine après quelques années de pratique

Je m’inscris à un cours (ou dans une association, source de sa propre jeunesse)

Je demande conseil à plus jeune que moi

J’écoute ce qu’aiment les jeunes qui m’entourent (découvrir et aimer)

Je prends conscience de l’usure du temps sur… ma fraîcheur d’âme ! (cure de jouvence)

Je suis patient avec moi-même

Je visualise mon apprentissage comme une fleur qui s’ouvre

J’apprends à voir mes progrès

J’accepte les compliments et les critiques d’une oreille égale

Je considère que ma création est une jouissance

Je me rappelle que je m’appartiens qu’à moi-même (que l’enfant livre vive enfin)

Je prends conscience que je suis unique au monde

Je fais la liste des responsabilités, des charges qui pèsent sur moi

J’accepte gaiement mes devoirs incontournables (inutile de se raidir)

Je laisse de côté les devoirs que je me suis inutilement imposé ! (se rendre un peu de jeunesse)

Je ris au moins une fois par jour avec quelqu’un que j’aime (la joie se décide)

Je tombe le(s) masque(s) (ca fait un bien fou à la jeunesse intérieure)

J’écoute mes vrais désirs

Je ferme la porte au sentiment de culpabilité

Je cherche à comprendre d’où vient ce sentiment de culpabilité, surtout si j’ai du mal à m’en défaire (se faire aider)

J’abandonne mes « modèles »

Je considère mes propres contradictions avec indulgence

J’accepte de me remettre en question (trait de caractère qui remet en forme)

J’accepte que mon élan puisse tourner court (tout le monde peut se tromper, recommencer)

Je pense à tout le bien que j’ai fait à autrui (prendre conscience)

Je vais vers moi-même (une bienfaisante douche mentale)

Quoi que je fasse, je me concentre sur la tâche à accomplir (cultiver son savoir-faire)

Je n’oublie pas de me féliciter pour chaque travail bien fait (prise en compte, progrès+sourire)

Je m’offre quelque chose pour la première fois

Je cultive l’amitié de gens de tous âges

Je fais de chaque obstacle une occasion de rebondir (réorganiser)

J’apprends à accepter la réalité telle qu’elle est (processus de guérison ou d’apprentissage)

Je suis de mon époque, et j’y tiens ! (on a le « droit »)

Je pratique l’art de l’ouverture, le plus souvent possible (souplesse, tolérance, humour)

Je ne sous-estime plus mon principal devoir : être heureux ! (pas de la jeunesse du cœur)

 

81 façons d’avoir confiance en soi –

Marie BORREL – Epanouissement  (septembre 2002)

J’accepte mes erreurs (c’est en se trompant que l’on avance)

J’arrête de porter sur soi-même des jugements définitifs (arrêter de se juger en bien ou en mal)

Je m’efforce d’accepter ce que je suis (être complexe, notre richesse)

Je prends conscience de mes qualités (en prendre en compte)

Je prends conscience de mes défauts (la perfection n’existe pas)

Je me fais aider par une personne en qui je fais confiance (être sûr de la sincérité)

Je me dis que j’ai construit la mauvaise image que j’ai de moi (être devenu)

Je pratique la pensée positive (le meilleur moment, juste avant de s’endormir)

Je me chouchoute (s’accorder des soins)

Je soigne mes mains et mes pieds… (on acquiert d’autant plus d’assurance que l’on soigne ces petits détails)

Je m’essaie à la créativité (fructueux voyage à l’intérieur de soi-même)

Je transforme mon manque de confiance en qualité (bons médiateurs)

J’accepte de me laisser aimer (mot amour)

Je m’entraîne à exprimer ce que je ressens (avec un peu d’entraînement on y arrive)

Je m’entraîne à exprimer clairement mes opinions

Je m’accorde le droit de réussir (c’est de notre vie qu’il est question)

J’ose regarder en face la passion qui m’anime (au lieu d’occulter ces désirs, mieux vaut les accepter. Nous avons tous droit au meilleur)

Je renonce à mon orgueil parfois démesuré (cela ne nous aide pas à en sortir)

J’affronte mes peurs (pour traverser la peur et la dépasser, il faut avant tout arrêter de se la cacher)

Je dresse l’inventaire des situations qui m’effraient (situations qui nous bloquent et nous stressent)

J’utilise la visualisation pour m’exercer à les affronter (grâce à la visualisation positive)

J’arrête de croire que le monde entier a les yeux braqués sur moi (trac paralysant)

J’arrête de me réfugier dans le rêve (les rêveries nous tiennent éloignés de la réalité)

Je m’efforce de transformer mes rêveries en projets, puis en actes (demande efforts)

Je me dis que tous les individus, même ceux qui manifestent le plus d’assurance, manquent parfois de confiance en eux (question de dosage, prendre conscience)

Je corrige les défauts physiques qui me perturbent dès que c’est possible (régime)

J’apprends à communiquer (PNL, analyse transactionnelle, s’exprimer, confiance en soi se construit)

Mes sautes d’humeur sont inévitables : je l’accepte (la journée ira peut-être en s’améliorant)

J’arrête de m’entourer de personnes qui me font de l’ombre

Je fais la liste de ce qui est satisfaisant dans ma vie (corriger le tir)

Je m’efforce de n’envier personne (ne nous apporte rien)

La vraie vie n’est jamais peinte tout en rose ni tout en noir : je m’en rends compte et je l’accepte

J’accepte de ne pas être parfait

Je prends conscience de mes limites

Je suis un être fragile et vulnérable (comme tout le monde sur cette Terre…)

Je suis aussi un être fort et puissant (également comme tout le monde…)

Je fais la part entre mes vrais désirs et ceux que mes parents ont eus pour moi

Je m’efforce de faire passer mes propres désirs avant ceux que m’ont inculqués les autres

Je m’accorde le droit de devenir, chaque jour davantage, ce que je suis vraiment (soi-même)

Je respecte la personne que je suis, avec toutes ses facettes

Je me regarde nu€ dans un miroir (s’accepter)

J’apprends à repérer ce qui me va (certaines choses nous mettent en valeur)

Je pratique une activité physique (qui procure du plaisir)

J’invente à chaque instant le monde dans lequel je vis (en être conscient)

J’écris le scénario de ma vie idéale

Dans ce scénario, je note ce qui me semble réalisable (pas complètement démunis devant nos rêves)

Chaque soir, je repasse dans ma tête le film de ma journée (sur ce qui nous a apporté du plaisir)

Je ne sais pas vraiment qui je suis : je l’accepte (trésors cachés en nous même, découvrir un jour)

Je me prépare à « tuer » symboliquement mes parents pour exister pleinement

Je m’invente un rituel de séparation (s’habiller en blanc symbolise le passage, adulte)

J’ai recours aux élixirs floraux de Bach (« Cereto » apaise, « Aspen » soulage les peurs irraisonnées)

J’apprends à respirer consciemment (arme pour lutter contre le trac, l’appréhension, la timidité)

Je fais l’arbre, la roue ou le chien…(yoga calme, recentre, améliore harmonie, restaure confiance soi) je ne me laisse plus aller à la culpabilité (le passé, inutilité, se concentrer sur le moment présent pour préparer l’avenir)

J’accepte les changements (voie de l’amélioration)

J’observe la façon dont je sors de mon lit chaque matin (gestes révélateurs notre relation au monde)

Je modifie la façon dont je me lève chaque matin (prise conscience journée, ce qu’elle apportera)

Je demande de l’aide à mon ange gardien (manière de dialoguer avec soi-même et avec la vie)

Je fais confiance à la méthode Coué (méthode d’autosuggestion, pensée positive : « chaque jour, à tous points de vue, je vais de mieux en mieux »

Je suis parfois mon pire ennemi : je le reconnais et je l’accepte (en prendre conscience)

Je me complimente dès que j’en ai l’occasion (faire des compliments mérités)

Je me récompense pour chaque progrès que j’accomplis sur le chemin de la confiance en moi (demande courage, lucidité et endurance, mérite récompenses)

Je n’hésite pas à pratiquer l’humour et la dérision (garder du recul par rapport à soi-même)

Je me fabrique des gris-gris… (garder près de nous bibelot pour affronter une situation)

Je refuse absolument de me comparer (à fuir d’urgence)

Je me méfie des normes et des modes (rien à y gagner, éloignement de soi-même)

Je ne me contente plus de paraître… (piège de l’apparence)

Je profite des moments de crise pour évoluer (lorsqu’on « craque »)

Je décide d’abandonner ma souffrance (tout à y gagner)

Je m’applique à faire quelque chose dont j’ai toujours rêvé et que je n’ai jamais osé accomplir

(renforce notre confiance)

Je pratique un sport extrême (aller au bout de ses limites et les dépasser)

J’abandonne la rancune (cas de maltraitance)

Je médite… (à commencer par notre propre confiance…)

Je décide d’être joyeux au moins cinq minutes par jour (« la joie, ça se décide », se désaltérer)

Je me fixe des objectifs réalistes (pour cultiver pas à pas sa confiance)

J’apprends à écouter (qualité rare et précieuse)

Je n’accepte plus les critiques injustifiées (pas à pas vers une meilleure confiance en soi)

Je pratique l’auto-ancrage (geste pour faire revenir les émotions positives)

Je cesse de considérer la vie comme un ring et les autres comme des adversaires (sortons de cette ambiance de combat, que nous entretenons nous-mêmes en nous posant en victimes)

Je m’inscris à un stage d’affirmation de soi (techniques efficaces, impact du groupe positif)

Si ce n’est pas suffisant, je consulte un psy (poids blessures passées lourd, thérapie indispensable)

 

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